Extrait:
Vous ne pouvez pas, vous ne pourrez jamais savoir. Le bonheur, la douceur, la tranquillité. Quand j’allais dans ces rues, que je marchais totalement tranquille, totalement livré à n’être qu’un passant qui est là, ailleurs, dans cet autre hémisphère, dans cette ville perdue du nord de la Patagonie et que personne ne connaît; que j’allais, ça et là, que je vaguais sans but, attendant le moment de m’asseoir, n’importe où, pour manger, comme n’importe qui, n’importe où, vous ne pouvez savoir ce bonheur, ce triste bonheur…